Le premier film de Noah Baumbach, Les Berkman se séparent , m'avait laissé une grande impression. Cela remontait à 2006 (!), et tout ce temps passé inclinait à des attentes logiquement assez élevées pour son deuxième long-métrage. Le voici donc enfin, avec Greenberg, porté par un Ben Stiller dont la finesse de jeu est ici assez sidérante. Si on retrouve un sens du montage assez fulgurant, cette fois, comme l'écrit parfaitement l'Obs, " à force de vouloir jouer au plus malin, de chercher le décalage à tout prix, Noah Baumbach vide son film de sens. L'humour à froid tourne à l'humour à...

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